Avant d’entrer dans la Semaine Sainte qui vient au bout du Carême, nous nous proposons aujourd’hui de vivre le pardon comme une fête !
Dieu personne ne l’a jamais vu… mais en Jésus il a montré concrètement l’amour qu’il nous porte. Et, à la suite de son Fils Jésus, nous sommes les yeux, les mains, les oreilles, les lèvres et les pieds… par lesquels il agit pour le bien des gens aujourd’hui. Nous formons ainsi le « Corps du Christ », tel que nous le recevons à chaque messe. Le prêtre nous dit « Le Corps du Christ » et nous répondons « Amen », c'est-à-dire « oui je veux être comme le corps du Christ par lequel Dieu agit ».
Par cette démarche aujourd’hui, nous voulons mettre tout notre corps au service du bien plutôt que pour faire mal.
Vers la fin du parcours, chacun pouvait aller à la rencontre d’un prêtre, pour recevoir le « sacrement du pardon ». C’est un cadeau de Dieu.
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Nous en avons été privé l'an dernier.
Elle sera sans doute encore un peu atypique, cette année. Mais nous en ferons le lieu d'une conversion: le Seigneur fait toute chose nouvelle, à travers nos "petites morts"... désolation, peurs, déceptions, refus, amertume, sentiments de fragilité...
Il est ressuscité et tous ressusciteront pour être avec lui, toujours!
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L'agenda paroissial
L’eau, c’est la vie…la vie au risque de la mort, quand elle déferle en déluge ou inondation, ou quand on y perd pied. Mais c’est dans l’eau que la vie est venue et c’est avec l’eau que la vie continue. Les enfants aiment bien jouer avec l’eau, prendre un bain, sauter dans les flaques, arroser tout et n’importe quoi et faire des barrages. Ils n’aiment pas toujours boire simplement l’eau, la trouvant un peu fade… et pourtant!
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L'agenda paroissial
Le Carême est le bon temps pour s'approcher du Baptême.
c'est ainsi que Sarah, Gaétan et Manon ont fait étape dimanche, à travers le dernier scrutin.
Marqués du signe de la Croix, et "équipés "d'un Nouveau testament, ils se présentaient pour l'ultime étape où on reconnait autant ses fragilités et ses faiblesses que son attirance et sa volonté de croire en Jésus
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Avant d’entrer dans la Semaine Sainte qui vient au bout du Carême, nous te proposons aujourd’hui un moment génial : vivre le pardon comme une fête !
Dieu personne ne l’a jamais vu… mais en Jésus il a montré concrètement l’amour qu’il nous porte. Et, à la suite de son Fils Jésus, nous sommes les yeux, les mains, les oreilles, les lèvres et les pieds… par lesquels il agit pour le bien des gens d’aujourd’hui. Nous formons ainsi le « Corps du Christ », tel que nous le recevons à chaque messe. Le prêtre nous dit « Le Corps du Christ » et nous répondons « Amen », c'est-à-dire « oui je veux être comme le corps du Christ par lequel Dieu agit ».
Par cette démarche aujourd’hui, nous voulons mettre tout notre corps au service du bien plutôt que pour faire mal.
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Aujourd’hui commence le temps du Carême où nous prenons du recul pour voir ce qu’un regard trop proche ne peut embrasser : toute la réalité des problèmes qui se posent à nous et des défis à relever.
C‘est en vivant une vie personnelle et collective simplifiée que nous ferons mieux face aux conséquences déjà visibles du dérèglement climatique et à cette pandémie qui s’ajoute.
Il n’y a pas à en faire plus; il s’agit juste de vivre sobrement. Le virus n’aime pas la sobriété. Il en a même peur, car il se nourrit de notre appétit à consommer, à circuler, à faire la fête, à être entre amis. Le problème, c’est que ce faisant, il désorganise notre société, complique la vie normale et rend méfiant, autant qu’il peut parfois tuer.
Faire carême, c’est notre confinement comme chrétiens, en cette période trouble, pour lutter contre l’épidémie.
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