Nous entrons dans le temps de l’avent, c’est-à-dire de la préparation à Noël.
Dans l’Évangile, Jésus fait référence au déluge et à Noé, dans le but non pas de nous faire peur, mais d’attiser notre espérance d’un monde plus beau, plus juste, meilleur que le précédent.
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Les homélies du Père Hugues Guinot
C’est une tentation très humaine, que de vouloir occuper la première place…
Mais vous l’avez compris : la première place dont il s’agit, ce n’est pas un
emplacement physique ou géographique....
Ce dont il s’agit en vérité....
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Dans l’évangile de Jean, Jésus Christ est la vigne, les disciples en sont les sarments ; de la même
manière que, dans la théologie de saint Paul, nous sommes le corps dont le Christ est la tête.
Les sarments sont reliés les uns aux autres en étant reliés à la vigne, comme les membres du
corps sont reliés entre eux en étant reliés à la tête. Les sarments doivent demeurer attachés à la
vigne, car s’ils sont coupés, ils se dessèchent et sont jetés au feu. Au contraire, en restant attachés, ils peuvent donner du fruit.
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L’évangile de la transfiguration nous plonge dans une sorte de rêve, dans une situation quelque peu surréaliste. Une vision étonnante, que partagent simultanément trois des disciples de Jésus : Pierre, Jacques et Jean. Ils sont ses plus proches apôtres, un peu comme sa garde rapprochée. Un seul des trois prendra la parole ...
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Dans l’évangile de ce dimanche, la parole de Jésus est d’une grande radicalité : il s’agit d’aimer Jésus, le Christ, par-dessus tous, y compris par-dessus nos proches, ceux dont nous sommes naturellement liés par le sang, y compris nos fils et nos filles, auxquels nous avons transmis la vie.
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Le maître mot de cet évangile du premier dimanche de l’avent, c’est le verbe veiller, conjugué à l’impératif : un ordre, ou au moins une forte recommandation, de Jésus. Et non seulement la recommandation vaut pour nous préparer à fêter Noël, pour vivre le temps de l’avent qui nous dispose à accueillir la naissance de Jésus, mais elle vaut, plus largement, pour l’ensemble de l’année liturgique qui s’inaugure aujourd’hui. Comme si être chrétien voulait dire être en mode «veille».
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Les récits des évangiles racontent, de différentes manières, les événements autour de la résurrection du Christ. Ce qui est commun à ces différents récits, outre qu’il s’agit du cœur de notre
foi, la foi de notre baptême, c’est que les apôtres et les proches de Jésus ont mis un certain temps
à réaliser que Dieu, au matin de Pâques, avait ressuscité Jésus d’entre les morts. Autrement dit,
pour les plus proches amis de Jésus, sa résurrection n’était pas une évidence.
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