«En juin, pluie au soleil unie font prévoir récolte bénie.» Ce dicton de nos campagnes exprime ce que nous souhaitons être non seulement pendant ce mois mais aussi durant toute notre vie: pleins de grâces c’est-à-dire d’aides spirituelles du Temps Pascal qu’on achève avec la célébration de la Pentecôte, ainsi que celles des sacrements que nous recevons surtout celui du Corps et du Sang du Christ dont sa fête est prévue cette année le 11 Juin.
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Le Temps Pascal est terminé ainsi que les grandes fêtes qui le culminent notamment la Pentecôte, la sainte Trinité et le saint Sacrement. Donc le temps dit ordinaire dans notre liturgie reprend place et il nous accompagnera jusqu’au début de l’Avent. Nous sommes appelés à vivre dans l’espérance; le paradis terrestre n’existe plus nulle, part mais dans notre cœur peut surgir la joie et la communion avec Dieu jusqu’au moment où il nous fera entrer dans sa gloire. Soyons les témoins de cette espérance que nous célébrons dans chaque messe.
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En ce mois de mai, nous sommes encore dans le temps pascal qui s’écoule du dimanche de Pâques au dimanche de la Pentecôte. Selon saint Augustin, le temps pascal est une période de 50 jours célébrée dans la joie et l’exultation comme si c’était un jour de fête unique ou mieux un grand dimanche.
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Encore dans la joie pascale, nous entrons dans le mois de mai qui sera complètement couvert par le temps pascal.
Au premier jour du mois de mai toute l’Église fête Saint Joseph travailleur. « Joseph, l’artisan-paysan d’un petit village de Galilée, est pour le chrétien le modèle à suivre dans l’accomplissement de ses activités professionnelles, parce qu’il a travaillé dans l’intimité quotidienne de Jésus. Le travail est joie et souffrance, il est service de la communauté et approche de Dieu : voilà ce qu’on apprend à l’école de Nazareth » (La liturgie des heures, tome II, p.1323)
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Mois de mai et mois des fleurs ; mois de la beauté de la nature, mois où le printemps se manifeste dans toute sa vitalité.
Le mois de mai est un temps traditionnellement dédié à l’invocation spéciale de la Vierge Marie, mère de Jésus-Christ
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Encore rayonnant de la joie pascale, nous entrons dans le moi de mai. Mois dans lequel la nature nous sourit car les plantes sont en floraison. C’est le mois des fleurs, le mois où le printemps se manifeste dans toute sa vitalité. Nous contemplons l’éclosion de la beauté de la nature. En Europe, dès le 13ème Siècle fût associé la beauté de Marie à celle du mois de mai et l’ornement de sa statue par des fleurs. Mais c’est à Rome, à la fin du 16ème siècle, qu’est née la coutume de consacrer les 31 jours du mois de mai à une prière mariale renforcée.
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En ce mois de Mars, n’oublions pas que nous sommes en Carême. Joseph dont la fête est célébrée le 19 mars peut nous inspirer une vraie pénitence pour contempler la gloire de Dieu.
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Nous entrons en Mars 2022, ce mois correspond cette année au début du Carême qui débute le 2 mars, mercredi des Cendres. Le nom de ce mois provient du latin Martius qui signifie un bon guerrier en référence au Mars, dieu romain de la guerre, gardien de l’agriculture et ancêtre des fondateurs de Rome.
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Tout le mois de mars nous sommes plongés en plein cœur du carême, temps de 40 jours où nous sommes tous appelés à nous préparer à la célébration de Pâques, jour de la résurrection de notre Seigneur qui est le cœur de notre foi.
Pendant le temps de carême nous sommes appelés à emprunter le chemin de la conversion pour revenir à Dieu de tout notre cœur (Joël 2, 13).
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Ce mois de Mars, nous sommes en plein Carême avec son programme habituel centré sur les trois éléments: la pénitence, le jeûne ou la privation ainsi que la prière.
Dans le Christ, même lorsque l’épreuve se dresse sur le chemin, nous ne sommes pas sans ressources, nous avons, en Jésus, en son Cœur, en ses sacrements, en sa confiance que la vie et la joie auront le dernier mot, et que l’amour qu’il nous donne de pratiquer se multipliera.
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