Dans la tradition de mon pays d’origine, le mois de janvier est appelé «Mutarama », nom dérivé du verbe «gutarama» qui signifie se rassembler pour célébrer et se réjouir ensemble en dansant, en chantant, en mangeant mais surtout en buvant. Cette fête n’était pas celle du nouvel an comme on peut l’imaginer parce que l’année commençait au mois de septembre. La joie qui se célébrait, était celle des récoltes des champs.
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Actualité paroissiale
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Les éditos du mois
Depuis la messe de la veillée de la naissance de Jésus, nous sommes dans la joie de Noël. Partout dans de nombreuses familles, nous trouvons la crèche pour célébrer la naissance du Christ. Toujours un nouveau-né inspire la tendresse en famille, entre les parents mais aussi autour d’eux chez les voisins. Cette tendresse de la venue de Jésus, doit durer, c’est pour cela qu’il vient parmi nous.
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Découvrir les homélies du Père Canisius Niyonsaba
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Archives année A, 2019-2020
«Plusieurs Juifs ont cru que la défaite de l’armée d’Hérode était une punition de Dieu, à cause de Jean, surnommé Baptiste (…) Ainsi, comme beaucoup de peuples le suivait pour écouter sa doctrine, Hérode, craignant que le pouvoir qu’il aurait sur eux n’excitât quelques séditions, parce qu’ils seraient toujours prêts à entreprendre tout ce qu’il leur ordonnerait. Il crut devoir prévenir ce mal pour n’avoir pas sujet á se repentir d’avoir attendu trop tard à y remédier. Pour cette raison, il l’envoya prisonnier dans la forteresse de Machéronte, et les Juifs attribuèrent la défaite de son armée à un juste jugement de Dieu pour une action si injuste.» (Flavius Josèphe, Histoire Ancienne des Juifs, XVIII, 7)
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Vivre l'Avent 2019 à l'école de Jean-Baptiste