Aujourd’hui commence le temps du Carême où nous prenons du recul pour voir ce qu’un regard trop proche ne peut embrasser : toute la réalité des problèmes qui se posent à nous et des défis à relever.
C‘est en vivant une vie personnelle et collective simplifiée que nous ferons mieux face aux conséquences déjà visibles du dérèglement climatique et à cette pandémie qui s’ajoute.
Il n’y a pas à en faire plus; il s’agit juste de vivre sobrement. Le virus n’aime pas la sobriété. Il en a même peur, car il se nourrit de notre appétit à consommer, à circuler, à faire la fête, à être entre amis. Le problème, c’est que ce faisant, il désorganise notre société, complique la vie normale et rend méfiant, autant qu’il peut parfois tuer.
Faire carême, c’est notre confinement comme chrétiens, en cette période trouble, pour lutter contre l’épidémie.
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